Commentaires / AasWulF

Une kro, pour picnic of love !

Une Kro !

Une Kro !!

Subir le bizutage des nouvelles chroniques par un nouvel arrivant ? Ca sonne vrai comme explication... Menfin, ça n'explique pas cet oubli de "Stormblåst" (pour en revenir à la kro en elle même, car c'est ça qui compte, pas autre chose) dans une chronique parlant de... Ah bah tien, justement, Stormblåst !

Pour ce qui est de la légèreté, je dirai totalement l'inverse par rapport aux albums suivants qui se perdent dans les hautes sphères du grandiloquant (progressivement). Celui ci est une vraie tempête, tantôt intérieure avec des passage terriblement mélancolique au piano, d'où il ressort une très grande intimité et d'un sentiment très personel, au fond, tantôt extérieure caractérisée extrèmement bien par Stormblåst justement (d'où le nom de l'album)... Qui a déjà entendu dire qu'avant un orage, le temps était léger ?

Quoi ?

Rien sur le plus mythique et le plus fort de tous les morceaux de Dimmu Borgir ? (A croire qu'il n'a jamais écouté Stormblåst, chanson éponyme de l'album, autrement que sous sa douche ou en parallèle avec le dernier tube de Britney Spears)

Ce titre mérite au moins 20 lignes d'études pour pouvoir faire ressortir toute la splendeur de cette majestuosité qui ne rechigne pas son nom selon moi de leçon de Black metal... Menfin...

A part ça, d'accord avec Narog... Mais le chroniqueur prouve bien son erreur avec l'apposition de ces deux phrases dans le même chapitre : "intemporel, mélancolique et lugubre" suivi de "La musique est aussi beaucoup plus légère que celle qui sera créée à l’avenir".....

... Une musique légère et lugubre à la fois ?