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Adema - Planets

Chronique

Adema Planets
Ca n’est plus un secret pour personne, Earache a élargi son catalogue en signant plusieurs groupes de néo. Le plus connu du lot est incontestablement Adema. Le groupe qui s’était fait connaître grâce à la présence au micro de Mark Chavez, demi-frère de Jonathan Davis (chanteur de KoRn pour ceux qui ont loupé les dix dernières années) a déjà sorti deux albums. Le premier avait été plutôt bien accueilli par la critique mais le deuxième en avait pas mal pris dans les dents, la faute à un manque d’originalité total et à des compositions un peu top mielleuses. Depuis, Chavez s’en est allé et leur label a coulé. Le groupe a donc signé chez Earache et un nouveau chanteur inconnu au bataillon est arrivé.

Que nous proposent-ils désormais ? Continuent-ils dans la voie d’Unstable, album mou du genou ? Vais-je me livrer à un démolissage en règle ? Et bien non ! Le groupe change la donne. Fini le néo, place au rock, et au bon rock. Dissipons tout de suite un éventuel malentendu : l’album n’est pas une tuerie, mais ayant revu mes espérances à la baisse, j’ai été plus qu’agréablement surpris par l’évolution du groupe.

Le gros changement intervient bien évidemment au chant. Si Mark Chavez avait un timbre particulier, il était loin de maîtriser sa voix parfaitement. Son successeur, Luke Caraccioli, est à l’opposé : sa voix est claire et précise. C’est lui qui tire le groupe vers le rock comme sur Shoot The Arrows, premier morceau pourtant composé de riffs typiquement néo. Une fois n’est pas coutume, une précision s’impose : quand je parle de rock, je parle bien évidemment d’un rock lourd et pêchu mais assez entraînant pour passer sur les ondes US.
Sur Vikraphone, on est d’ailleurs en plein stoner façon Queens Of The Stone Age (batterie et riffs bien carrés et dynamiques). Et le tout avec solo s’il vous plait ! Fans de technique passez votre chemin : on est plus proche de l’impro live des années 70s que d’un solo de Dream Theater ou consorts ! Heureusement d’ailleurs !
Du coup, on regrette vraiment que la production ne soit pas extraordinaire. Le label avait-il décidé de ne pas trop investir sur le groupe ? Je n’en sais rien, toujours est-il qu’un son un peu meilleur aurait donné plus de relief à certaines compositions un ton en dessous des autres.

Qu’on se le dise Adema a vraiment changé et ça n’est pas plus mal. Planets n’est pas révolutionnaire mais se révèle très agréable à l’écoute. Il est surtout de bon augure pour la carrière du groupe. Et qui sait, la prochaine fois, ils auront peut être le droit à une production aux petits oignons...

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3 COMMENTAIRE(S)

Jester citer
Jester
08/04/2005 13:10
moi j'le trouve bie minable cet album haha
Dead citer
Dead
08/04/2005 11:48
Bof y'a pire... Sourire

Sinon ils se la petent vachement gros méchants sur leur clip Moqueur
space monkey citer
space monkey
07/04/2005 0:04
Sortie le 11/04.

Malgré le nom du chanteur, je n'ai placé ni "Luke je suis ton père" ni "Ouhou Cara !! Ouhou Odile !!!" Moqueur

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Adema
notes
Chroniqueur : 5/10
Lecteurs :   -
Webzines : (18)  5.25/10

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Adema
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Rock - Etats-Unis
  

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Planets
Planets
Adema

Extrait de "Planets"
  

tracklist
01.   Shoot The Arrows
02.   Barricades In Time
03.   Tornado
04.   Sevenfold
05.   Planets
06.   Enter The Cage
07.   Remember
08.   Chel
09.   Until Now
10.   Rise Above
11.   Better Living Through Chemistry
12.   Wide Eyes Open
13.   Vikraphone
14.   Piano Interlude

Durée totale : 57’13

line up
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