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Brixia Deathfest II - 2ème Jour

Live report

Brixia Deathfest II - 2ème Jour Aosoth + Avulsed + Black Oath + Dead Congregation + Funest + Gravesite + Mefitic + Natron + Prion
Le 26 Septembre 2015 à Brescia, Italie (Circo Colony)
Après une bonne nuit de sommeil dans mon palace, un petit déjeuner copieux et un risotto aux légumes grillés comme d'habitude beaucoup trop salé, j'avais hâte de retrouver le Circo Colony pour cette deuxième journée du Brixia Deathfest II. L'affiche, avec entre autres PRION, MEFITIC, AOSOTH, AVULSED et DEAD CONGREGATION, faisait drôlement envie! Deux groupes de plus aujourd'hui, les concerts commencent donc plus tôt qu'hier. À l'entrée, je m'aperçois qu'il y a déjà un peu plus de monde que la veille mais ça reste très loin d'être bondé. La salle va-t-elle se faire aussi vide que vendredi?


FUNEST (17h15-17h45)

Comme hier, honneur aux locaux avec les Italiens de FUNEST dont j'avais déjà vu le nom traîner mais n'avais jamais écouté quoi que ce soit. Ce fut donc une découverte, plutôt plaisante ma foi. Le groupe ne fait pas dans l'original, on est dans le old-school Swedish death metal worship to the fullest mais les Transalpins le font de façon très convaincante avec un feeling certain. Les guitares grésillent, ça tâche, ça fait tchouka-tchouka, ça envoie même les blasts de temps en temps, ça ralentit le tempo pour le groove et une petit lead mélodique typique ressort de temps en temps. Bref, on a l'impression d'avoir déjà entendu ça des milliers de fois mais il m'a semblé que FUNEST s'en sortait mieux que la majorité avec ce petit goût de reviens-y qui démarque les meilleurs. À vérifier sur album mais pour ce qui est du live en tout cas, les Lombards ont ouvert les hostilités de manière tout à fait satisfaisante. Ce qui l'était moins par contre, c'est la fosse à nouveau plus que clairsemée. On est samedi, c'est un groupe du coin qui joue mais il n'y a pas grande monde devant! Allez comprendre!


GRAVESITE (18h05-18h35)

Il n'y aura pas beaucoup plus foule devant GRAVESITE. Bien dommage parce qu'après la bonne prestation de leurs compatriotes de FUNEST, GRAVESITE a fait monter le niveau encore d'un cran. J'avais bien vu passer le nom du groupe et la pochette de l'album Horrifying Nightmares... sorti récemment via Xtreem Music (Dave Rotten d'AVULSED et gérant du label viendra d'ailleurs prendre quelques photos) mais là encore, je n'avais pas poussé plus loin malgré les compliments de mon collègue Niktareum sur le forum. Un tort car les Italiens n'ont pas eu de peine à me convaincre. Pas étonnant de toute façon puisque le groupe compte trois anciens Undead Creep dans ses rangs! Comme FUNEST, GRAVESITE adore le death à la suédoise. Mais le combo s'avère un peu plus ambitieux, malgré le look punk du chanteur et du guitariste, en incorporant des sonorités un peu plus originales, en variant davantage le jeu, en se montrant inspiré sur des solos intéressants et en se faisant plus techniques, sans jamais nuire à l'efficacité car souvent joué pied au plancher. Je note même que le chanteur, s'il reste dans un registre growlé classique, fait également un effort de diversification en donnant plus de corps, de vie et de dégueulasseries à son chant. Du coup, je sais ce qu'il me reste à faire. Me pencher sur Horrifying Nightmares...!


PRION (18h55-19h25)

Je me plains du manque de spectateurs mais je n'avais encore rien vu. Car la palme de la salle la plus vide va revenir aux pauvres PRION, en tournée européenne avec NATRON et AVULSED pour la première fois de leur carrière. Rappelons que le trio vient tout de même d'Argentine! Heureusement qu'ils avaient joué eux aussi au NRW Deathfest la semaine dernière, devant davantage de monde, j'aurais ainsi pu les voir dans de vraies conditions de concert. Parce que là, ça tenait plutôt de la représentation privée devant pas plus de 10 personnes! J'ai vraiment eu de la peine pour les musiciens qui se donnaient pourtant à fond, entre le bassiste et sa tignasse frisée toujours en mouvement, le batteur épileptique qui frise la syncope en s'excitant sur les blast-beats et surtout le chanteur guitariste tout sourire qui remercie le public entre chaque morceau comme s'il était venu en masse. Si j'ai vanté les mérites du nouvel album des Sud-américains, Uncertain Process, je dois toutefois qu'admettre qu'en live, la musique de PRION passe assez mal. La déception avait déjà pointé le bout de son nez en Allemagne, ça s'est confirmé ici. Sur disque, le brutal death intense d'influence rutanienne du combo prend l'auditeur à la gorge pour ne plus jamais le lâcher. Du blast, du blast et encore du blast, mêlé à des riffs assez touffus, il faut dire que la formation ne donne pas dans la facilité. Et même en connaissant les morceaux, il était peu évident de les reconnaître tant le tout sonnait comme un brouhaha incompréhensible et ultra monotone. Hors, mine de rien, il y a tout de même quelques subtilités dans le jeu des Argentins. Ici, seuls quelques riffs plus mélodiques ressortent ou lorsque les autres instruments se taisent pour laisser la gratte sur le devant de la scène. Il y a eu aussi ce break jazzy savoureux sur "Hedonist" dont on a pu se délecter. Pour le reste, on n'a pas compris grand- chose. La faute au son? Peut-être, tant il est dur de donner un rendu clair à un style aussi radical. On l'avait déjà constaté hier avec DIABOLICAL MESSIAH. Le manque d'un deuxième guitariste afin de donner davantage de puissance et d'impact (ce que possède le groupe sur album mais fait défaut en live) s'est aussi fait cruellement sentir. De bons et sympathiques musiciens, une bonne musique, mais impossible d'apprécier le brutal death de PRION à sa juste valeur dans ces conditions. Il y a des groupes qui ne sont pas faits pour le live. Malheureusement, PRION semble en faire partie.


BLACK OATH (19h45-20h30)

Pour cause de repas avec les guitaristes de DETERIOROT, je rate BLACK OATH dont je ne connaissais de toute façon absolument rien. Metal Archives me dit doom occulte, pas sûr que cela m’aurait passionné...


MEFITIC (20h50-21h35)

C'est qu'il commence à y avoir un bon retard sur les horaires prévus puisqu'on se rapproche des trois quarts d'heure de décalage. Après la pause nourriture et discussion, il était temps de retourner à l'intérieur du Circo Colony pour un concert que j'attendais avec pas mal de curiosité. Les Italiens de MEFITIC viennent en effet de sortir un premier album très convaincant, Woes Of Mortal Devotion. J'étais donc impatient de voir si le groupe était capable de retranscrire en live le même impact que l'opus a eu sur moi. Et je dois dire que MEFITIC a surpassé mes espérances! À tel point que ce show fut l'un des plus marquants du Brixia Deathfest! Grimés et vêtus de tenues noires déchirées et poussiéreuses, les musiciens vont assommer l'auditoire, légèrement plus conséquent à cette heure (surtout par rapport à PRION!) pendant quarante minutes des plus intenses. Le blackened death metal des Transalpins a réussi à me captiver de bout en bout. Imaginez Vasaeleth ou Grave Miasma qui aurait retrouvé ses couilles, une sorte de rencontre infernale entre Incantation, Archgoat et Demoncy (dont une reprise de "Impure Blessings" sera d'ailleurs jouée en tomber de rideau). Une musique à la fois bestiale, sombre, blasphématoire et ritualiste. Ca fait envie, hein? Gros panard pendant tout le show du coup, entre blastouille bestiale qui rend fou et séquences plus étouffantes qui puent la mort. Un mélange détonnant de brutalité ultra efficace et d'ambiance dark et evil immersive. Sans oublier un chant growlé ultra profond qui donne encore plus de poids à une musique déjà très prenante. Le tout bénéficie en plus d'un son irréprochable qui permet de se délecter sans modération de MEFITIC qui a mis tout le monde d'accord ce soir. Sans problème LA grosse claque de ce week-end italien!


NATRON (21h55-22h40)

Alors que je l'avais toujours considéré au mieux comme un groupe de seconde zone, NATRON m'avait agréablement surpris au NRW Deathfest. Pas que j'avais été complètement transcendé non plus mais les Italiens m'avaient davantage convaincu que lors de mon unique rencontre avec eux il y a quelques années au Klub à Paris. NATRON a réussi à faire encore mieux à domicile grâce à une prestation enthousiaste (malgré une affluence toujours décevante) et très brutale. Le son se montre à nouveau à la hauteur, ce qui a permis de bien discerner les riffs, pas si génériques que ce que je pensais. J'ai même vu un rapprochement avec Suffocation que je n'avais pas noté le peu de fois que le brutal death du combo avait croisé mes oreilles. Une sorte de Suffocation en plus sombre. Pas étonnant dès lors que j'ai apprécié le set, mené de main de maître par le grand chanteur élancé au growl bien gras, qui n'a pas hésité à s'adresser et blaguer avec les spectateurs dans sa langue natale. À part "grazie a tutti", je n'ai pas compris grand-chose mais ça avait l'air marrant! Bref, nouveau show savoureux d'un fest qui, s'il n'a pas attiré grand monde, n'a pas déçu grâce à ses concerts.


AOSOTH (22h55-23h50)

RITUALIZATION hier, AOSOTH aujourd'hui. Chaque jour son groupe français! N'ayant jamais écouté le combo parisien qui remplaçait feu-Antaeus sur l'affiche mais n'ayant toujours entendu que des critiques positives sur lui, c'était l'occasion de voir si les louanges étaient méritées. Au final je ne saurais répondre puisque les Français évoluent dans un black metal typé orthodoxe dont je ne suis pas friand et connais donc mal. Cela dit le gig ne fut pas du tout déplaisant car AOSOTH arrive à instaurer une ambiance de dévotion au Malin prenante. Leurs morceaux sont souvent basés sur le même schéma, une longue montée en puissance qui tient en haleine avant l'apocalypse. Dissonances, mid-tempos headbangants, blast-beats, chant pas trop écorché de Mkm (que j'ai toutefois trouvé un peu étouffé), les qualités ne manquent pas. Cela dit, j'avoue avoir trouvé parfois le temps long sur des passages répétitifs traînant trop en longueur. J'aurais en effet aimé davantage de violence et de blasts tant les passages rapides se montrent convaincants. Voilà pourquoi j'aurais préféré voir Antaeus, là j'aurais eu mon quota de brutalité, même si AOSOTH envoie quand même pas mal le pâté! J'aurais toutefois été récompensé par une reprise du très raw "Inner War" en final. Quoiqu'il en soit, AOSOTH a reçu un accueil chaleureux du public qui comptait pas mal de fans, ceux-ci semblant ravis de la prestation des Parisiens dont le style a permis de diversifier l'affiche, toujours une bonne idée pour éviter la redondance.

Setlist:

An Arrow in Heart
III - I
Ritual Marks of Penitence
III - V
Temple of Knowledge
Inner War (Antaeus cover)


AVULSED (23h55-0h55)

Retour au death metal avec les vétérans d'AVULSED qui m'ont fait le même effet que NATRON. Je n'ai jamais accroché plus que ça au death old-school des Espagnols mais les récents concerts post-Motocultor auxquels j'ai assistés ont commencé à me faire changer d'opinion. Sans les trouver non plus géniaux, j'avoue que leur death metal n'est pas aussi banal et générique que ce que je pensais. On y trouve même pas mal de qualité comme du groove, de la brutalité, un peu de blasts, et même de la mélodie. Dave Rotten est en plus un modèle de frontman, que ce soit dans son growl (l'un des plus impressionnants d'Europe même si je le préfère dans Putrevore) ou dans sa capacité à communiquer avec le public. Ce n'était pourtant pas facile devant si peu de personnes qui plus est pas très motivées. Mais le patron de Xtreem Music a su les pousser à se lâcher et on a pu voir quelques mouvements dans le pit, même si c'est resté léger et bon enfant. Le bonhomme a su également combler le vide pendant qu'un des guitaristes subissait un problème technique. Le temps qu'il soit résolu et pour ne pas creuser davantage le retard (qui le sera pourtant, le groupe ne voulant pas écourté son set), AVULSED passera tout de même à un morceau ne nécessitant pas deux guitares, avant de revenir au morceau typé suédois que le frontman bouclé avait annoncé. Rayon setlist, on a eu le droit à quelques vieilleries bien dégueulasses ainsi qu'à des titres plus récents et mélodiques jusqu'au tout nouvel EP Altar Of Disembowelment. Et en final, comme il y a une semaine en Allemagne, les Ibériques ont terminé sur le très efficace "Burnt But Not Carbonized" tiré de Gorespattered Suicide, un des albums les plus appréciés du combo qui aime piocher dedans. Efficace, voilà qui résume bien ce set malgré la fatigue qui pouvait se lire sur le visage de Dave Rotten pour qui il s'agissait de la dernière date de leur tournée européenne en compagnie de PRION et NATRON. J'applaudis le dévouement total de l'Espagnol qui terrorise nos oreilles depuis tant d'années!

Setlist:

Dead Flesh Awakened
Breaking Hymens
Powdered Flesh
Carnivoracity
Devourer Of The Dead
Zompiro
Gorespattered Suicide
Stabwound Orgasm
Horrified by Repulsion
To Sacrifice And Devour / Red Viscera Serology
Sick Sick Sex
Burnt But Not Carbonized


DEAD CONGREGATION (01h15-2h20)

Il n'en restait qu'un mais pas n'importe lequel. Last but not least comme diraient les Anglais. C'est en effet ce qui se pose sans doute comme le meilleur groupe de death metal de ces dix dernières années, DEAD CONGREGATION, qui avait la tâche de clôturer la deuxième édition du Brixia Deathfest. Ma dernière rencontre avec les Grecs remontaient en avril au Neurotic Deathfest. Un concert dont je me souviendrai longtemps car c'était le meilleur du groupe que j'ai pu voir, la perfection absolue grâce au son incroyable du 013. Du coup, si j'étais bien sûr très heureux de revoir la bande d'Anastasis, j'appréhendais aussi un peu tant le show du Neurotic serait difficile à égaler. Et effectivement, ce gig du Brixia Deathfest n'a pas atteint le niveau de jouissance du festival néerlandais. Mais ce n'est pas pour autant qu'il fut décevant. Car malgré l'heure tardive et la fatigue accumulée, les Grecs ont su rapidement me transmettre la vigueur nécessaire pour savourer un show à nouveau exemplaire, si on met de côté le son brouillon au début sur "Morbid Paroxysm". Un son qui s'améliorera grandement par la suite, sans toutefois atteindre le niveau d'excellence du Neurotic. Bien suffisant néanmoins pour se retrouver à nouveau captivé par la machine de guerre qu'est devenu DEAD CONGREGATION. Un véritable rouleau compresseur qui en impose et force le respect. Il n'y a d'ailleurs jamais eu autant de "monde" devant la scène que pour les Héllènes (on a pu même assister à quelques pogos!)! Blast-beats dévastateurs, growls d'une puissance et d'une profondeur incroyables d'un Anastasis toujours plus impressionnant, riffs blasphématoires à vous coller le barreau, ralentissements jouissifs pour s'exploser la tête, ambiance noire ultra prenante, il y a décidément tout chez DEAD CONGREGATION qui a tout compris au death metal. Le combo ne jouant jamais la même setlist, on a également eu le plaisir d'en avoir une très variée visitant toutes les sorties de sa discographie. Promulgation Of The Fall évidemment avec entre autres le triptyque maléfique "Only Ashes Remain", "Promulgation Of The Fall" et "Serpentskin" auquel on rajoutera le malsain "Quintessence Maligned" qui a enchaîné après un "Morbid Paroxysm" un peu gâché par le son trop basseux, suivi de l'énormissime "Schisma" dont je ne me lasserai jamais d'entendre ce génial tremolo ultra Satan vers la fin, d'autant que la qualité sonore permettait de s'en délecter sans nuisance. Sans oublier un petit "Immaculate Poison" en clôture sur le rappel. Graves Of The Archangels n'a pas non plus été mis de côté puisque, hormis "Morbid Paroxysm" en ouverture, "Hostis Humani Generis" en a rajouté une couche niveau brutalité après le fameux trio de départ de Promulgation Of The Fall. "Teeth Into Red" a comme d'habitude clos le concert (c'est ce qu'on aurait pu croire avant le rappel de deux titres) avec la fameuse séquence de blasts de deux minutes et le sample de chants orthodoxes massacrés par le retour du Mal (frissons à chaque fois!). "Lucid Curse" et "Vomitchrist" en début de rappel nous rappelleront que DEAD CONGREGATION avait déjà fait fort sur son premier EP Purifying Consecrated Ground. La vraie surprise est venue de "Perennial Blasphemous Affliction" présent sur le split avec Hatespawn que je n'avais il me semble jamais vu en live. Une boucherie radicale d'à peine trois minutes qui fait du bien par où elle passe! Seul bémol à cette nouvelle démonstration de puissance et de maîtrise de la formation, j'ai trouvé Vagelis un peu en-deçà de d'habitude niveau blasts. Je l'ai bien ressenti sur "Teeth Into Red" notamment. Pas de quoi réellement décevoir cependant, c'était la fessée habituelle pour le reste! Et dire qu'au début, DEAD CONGREGATION me décevait à chaque fois en live à cause d'un son merdique. Depuis de nombreux mois maintenant, c'est claque sur claque!

Setlist:

Morbid Paroxysm
Quintessence Maligned
Schisma
Lucid Curse
Only Ashes Remain
Promulgation Of The Fall
Serpentskin
Hostis Humani Generis
Perennial Blasphemous Affliction
Teeth Into Red

Rappel:
Vomitchrist
Immaculate Poison


Il est tard, on est fatigué et on a mal partout mais putain qu'on est content! Et ce n'est pas DEAD CONGREGATION qui a fait la fermeture de mains de maître qui me fera regretter le déplacement. Même si j'avais déjà vu pas mal de groupes la semaine précédente au NRW Deathfest dont je n'ai pas pu vous conter l'excellente qualité faute de temps, il était hors de question que je rate, non seulement DETERIOROT pour sa deuxième et dernière date européenne (personne ne pouvait les faire jouer entre les deux fests sérieusement?! Une honte!) mais tout simplement cette seconde édition du Brixia Death dans son ensemble, qui offrait une affiche encore meilleure que celle du festival allemand. Une affiche qui a tenu toutes ces promesses. Plein de bons concerts (MEFITIC, DETERIOROT, DEAD CONGREGATION et ATOMIC AGGRESSOR pour le carré magique), un très bon son, une salle cossue, des musiciens faciles d'accès, tout ou presque était réuni pour passer un bon moment. Ne manquait que le public pour mettre une vraie ambiance. Mais où étiez-vous bordel de merde?! Tant pis pour eux, ceux présents ont pris leur pied! Et c'est déjà avec la déprime post-fest en tête que je marche plus de deux kilomètres sous une pluie battante pour rentrer à mon hôtel.

Les +:

- superbe affiche
- très bon son
- salle cossue
- musiciens fort sympathiques
- pas mal de merch de groupe et de distros

Les -:

- affluence ultra décevante et scandaleuse
- le manque d'ambiance qui en découle forcément
- aucun merch officiel du festival
- la scène trop large et profonde pour ce type de musique dont la proximité est importante
- le prix élevé de la bière
- le restaurant pas terrible en face, seule option pour se sustenter

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